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Ou comment plagier les titres de Sophie...
Sauf que là, j'ai eu la chouette permission de la grande manitou
elle même en personne... de...
transformer la Matisse Femme en "Matisse à baleine"!
Et même que je faisais tellement "baleine" dedans...
que je l'ai transformée en "Tunique Matisse à Baleine"...
Attention les yeux... ça pique de baleinisme...
Tout d'abord, il m'a fallu agrandir le patron, mais ça, ça va!
Ensuite, j'ai coupé directement dans le tissu définitif... Mais ça, ...
ça va pas! Pourquoi me direz-vous??? Parce que après avoir trimé
comme une malade à jongler avec mon passepoil acheté
en quantité recommandé, mais en omettant de compter
les augmentations du bas de robe et celle du tour de poitrine,
parce que ne l'oublions pas, au moment des faits
je suis enceinte à 1.5 mois du terme...
et bien je n'avais que la juste quantité pour faire le tour de manches,
et celui de poitrine... Et encore... quand je dis tour de manche...
Apparté inintéressant:
Bref! j'ai fais ma femme enceinte
à la mercerie, vous savez, celle qui pense sans réfléchir sous "perf"
permanente de progestéronne à la mords moi le noeud
qui vous fait dire et penser exactement n'importe quoi par rapport à ce que vous désirez...
(Apparté dans l'apparté:
Genre, j'ai appelé mon Cher et Tendre "ma raclette"... oui, oui,
vous avez bien lu... "ma raclette" et ne me demandez même pas
si c'est parce que j'en avais envie à ce moment là, parce que
c'est le genre de plat qui enceinte me fout grave la nausée pendant plusieurs jours...)
Bref, reprise du premier apparté:
En bref, après avoir bien trimé avec ce foutu passepoil,
après avoir galéré comme une dingue avec la pose de la glissière
invisible que l'on voyait toujours, et que j'ai du découdre deux fois,
et donc coudre trois fois, mais surtout redécoudre après essayage,
parce que je suis tellement cambrée qu'il m'a fallu tout découdre et
rejouer sur la profondeur des pinces, et retirer du tissu de chaque
côté de la fameuse glissière... Et donc coudre une quatrième fois...
En bref! j'ai vraiment passé du temps sur cette A#€|\#`*$
de tunique! et tout ça pour qu'au final...
je me rende compte, que j'avais complètement oublié de mesurer le tour de
mes bras de nageuse "est-allemande" , et aussi de modifier celui du patron...
Et que donc par conséquent, après avoir soigneusement cousu et fixé définitivement
la doublure de la robe, (oui, à ce moment là, elle n'étais pas encore "tunique")
J'ai du tout "simplement" découdre LE TOUT... sauf la glissière cette fois-là, quand même!!!
Parce que non seulement j'ai déjà des bras d'"est-allemande",
mais en plus, saucissaunés comme du Corse bien ficelé!!!
Aaaaaaarrrrgggghhh!!!!!
OK, Poupette, garde ton calm, prends avec douceur le "découd-vite",
qui entre nous soit-dit en passant, n'est pas du tout un "découd-vite"
parce que tu en ]@[\|{ littéralement pour découdre, et que tu y perds un temps FOU!!!
Et que donc, que, ... horreur de couture, j'ai du bidouiler, mais alors...
bidouiller un truc de la mort qui tue ta face de Poupette...
Je vous montre, mais attention: âmes couturières sensibles, passez votre chemin
vite fait sous peine de dégoût à jamais de la couture de Poupette...
Beurk! j'en ai encore la nausée...
Enfin, ce n'est pas tout...
Comme j'avais vraiment l'impression de flotter dedans,
Parce que j'avais ajouté "au cas où" un pli creux devant...
Je l'ai finalement recousu, et croyez moi, avec des lignes verticales sur le tissu,
faire comme si c'était propre relève du défi...
que je n'ai pas su relever... Progestérone... quand tu me tien!
Vous voyez l'horreur, là??? hein???... pffff!
déséspérant!!!
Ensuite, j'ai arccourci la robe en tunique, parce que l'effet mémé...
z'imaginez même pas comment c'est sur moi! Quand on a pas le physique,
... on a pas le physique!! :[
Alors, j'ai ajouté un élastique dans l'ourlet du bas... Et puis au final, je l'ai retiré...
En bref, j'ai fait ma femme enceinte qui ne sait jamais ce qu'elle veut,
mais qui l'obtient toujours...
Pfiouuuuuuuuuu!! j'ai cru que je n'en viendrai jamais à bout...
Mais bon, tout à une fin, et heureusement!
J'vous laisse, j'vais re-hiberner...
